1856 Louis Soulas, tailleur de pierres
Jean-Baptiste Martin Dumineret, maire
1861 Louis Laprade, médecin
Jacques Gaillard, curé
Jacques Villeneuve, instituteur
C'est à partir de 1861 que les premiers métiers féminins commencent à apparaître dans les recensements, même s'il est évident que les épouses travaillaient très souvent dans l'ombre de leur mari.
Il n'y avait pas moins de 10 couturières dans la commune cette année-là :
Marie Verret, Marie Augry, Louise Thomas, Adèle Giraud, Marie Gerbaud, Marie Pradeau, Justine Verry, Marie-Louise Biot, Marie Couturier et Marie Faideau.
Marie Clercy, lingère
Louise Dupré, nourrice
Jeanne Mercier, servante
Silvine Montout, journalière
D'autres étaient rentières ou mendiantes, ou bien "sans profession", parfois, comme Marie-Anne Bourdeau.
1872 Urbain Fromenteau, facteur-boîtier
Antoine et Jacques Faideau, maîtres d'hôtel
Pierre Bourdois, bourrelier
D'autres professions féminines apparaîssent lors du recensement de 1872 :
Elène Leroy épouse Gillard, institutrice
Marie Artaud, sage-femme
Jeanne Lebeau, veuve Dupré, métayère
1876 Thérèze Lefèbvre et Marie Bondu, institutrices
Honoré Duguet, instituteur
Alexandre Amand, sabotier à l'angle de la Grand'rue et de la Rue du Gué
Antoine Beyne, cordonnier et son apprenti, Baptiste Martin
Jacques et François Courtois, brûleurs
Alexandre Auzanneau, sacristain
Antoine Guitard, garde-champêtre
Louis Joyeux, messager puis courrier en 1881
Jean Laglaine, père et fils, marneurs
Louis Lairault, Louis Clément et Baptiste Martin, fermiers
Marie Delage, veuve Joyeux, fermière
En 1881, les épouses sont associées au travail de leur mari :
Pierre Joyeux et Marie Faideau son épouse, épiciers
Baptiste Piquet, horloger
Jean-Baptiste Chassat, instituteur
1886 Michel Nadeau et Marie, son épouse, boulangers
Radegonde Légé, Marianne Dussouil, ménagères
Marie Gaudin et Elisabeth Picherit, religieuses
Joséphine Baudu, institutrice
Marie Boulais, cuisinière chez M. Florentin Aubar
Charles et Louise Augris, épiciers
Marie Guyon, bergère, 13 ans
Rose Clément, fille de chambre chez M. Gabriel Clémot
1896 Radegonde Armand, employée des télégraphes
Marie-Louise Bourot, épicière et Marie Renaud, son employée
Radegonde Périqiaux, cuisinière chez M. Florentin Aubar
Ferdinand Boucher, cocher
Baptiste Soulas, tailleur de pierres
Louis Bernard, jardinier, Charles Musard, cocher, Marie Maronneau, cuisinière, Éveline Marnais, femme de chambre, André Simonnet, berger, au service de M.Hubert
Alexis Patris, ferblantier puis chef ferblantier en 1901
Alexis Patris et Juliette Sorton sont les parents naturels de l'écrivain et traducteur René Camille Patris d'Uckermann (né à Bouresse le 23/03/1897- décédé à Juan-Les-Pins le 17/08/1992), prix de l'Académie française pour L'ange au sabbat en 1947 et pour une biographie du peintre Ernest Hébert en 1983, ancien Directeur littéraire des Établissements Flammarion et membre de l'Académie Delphinale en 1962. Orphelin de père et de mère en 1916, et suite à des correspondances échangées durant la Première Guerre Mondiale, René Patris fut adopté en 1923 par la baronne Gabrielle Hébert, née d'Uckerman (1853-1934), veuve du peintre Ernest Hébert (1817-1908). Il se chargea de s'occuper des biens parisiens et dauphinois de sa mère adoptive et de la réalisation d'un musée consacré au défunt peintre. En 1979, René Patris fit don de ce domaine au département de l'Isère à la seule condition qu'il soit toujours dédié à l'artiste. (Article de presse tiré de La Semaine du 2 août 1931 - AD 86)
Louis Babert, buraliste
Marcel Calendré, curé
Sylvain Bourot et Madeleine Delhomme, valet et femme de chambre chez M. Mesmin Desvaux
Jacques Fromenteau, garde particulier du Marquis de Campagne
Xavier Muzard, chapelier
Lucien Gerbaud, instituteur, Alexandre Carron, instituteur adjoint
Joseph Depardieu, maréchal